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Le nouveau centre nordique éducatif et sportif a accueilli ses premiers usagers, un début d'une belle histoire qui va durer sur plusieurs générations. 

Centre nordique éducatif sportif avec des élèves chaussés en ski sur les pistes.

Centre nordique éducatif sportif avec des élèves chaussés en ski sur les pistes. Centre nordique éducatif sportif de la Féclaz - Crédit image : Grand Chambéry pour SMSB

Publié le 06 mars 2024

Contenu vérifié le 21 mars 2024

Lundi 15 janvier 2024, 315 élèves de primaire et secondaire ont découvert le Centre Nordique Educatif Sportif (CNES), ce nouvel endroit qui les accueillera durant tout l’hiver. Anciennement reçu au chalet de la Villette, les scolaires auront dorénavant la chance de pratiquer le ski nordique à la journée, en partant du CNES situé au pied des pistes.

Grand Chambéry a participé au projet du centre nordique via son financement au Syndicat Mixte des Stations des Bauges (SMSB), et en pilotant l'ensemble des travaux d'un montant de 3,35M€ HT. Conçu par Brenas Doucerain Architectes et réalisé par la société DARVEY pour le lot bois, le bâtiment possède une magnifique charpente en bois issus des Pays de Savoie et du Jura. 

Une infrastructure appréciée

En ce premier jour d’accueil les compliments résonnent ;

« C’est mieux que le vieux chalet, là c’est royal ! » s’exclame un moniteur de ski.

« Les architectes ont pris en compte le besoin de fluidité » indique Nathalie, « Le bâtiment est magnifique, ça fait plaisir de travailler ici » ajoute Amandine, toutes deux salariées de la Fédération des Œuvres Laïques, association qui gère, pendant trois mois, le CNES dans le cadre d’une délégation de service public ordonnée par le SMSB.

Le CNES est apprécié pour sa fonctionnalité mais aussi pour son esthétisme comme le raconte une jeune collégienne qui s’exclame devant la beauté des matériaux utilisés à la construction de cet outil.

Quatre années auront été nécessaires pour la réalisation de ce projet. La mise en activité du CNES marque la fin d’un chapitre mais la suite de l’histoire reste à écrire. Place aux habitants et à la jeunesse savoyarde pour donner vie à ce bel outil.

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