Peut-on concilier science et littérature ? Autour de la question du corps humain, comment un écrivain sensible à la cause scientifique et un scientifique acquis à la littérature trouvent-ils un langage commun ?
Par le biais de personnages désaxés, Stéphanie Coste et Marie Vingtras nous entraînent dans les méandres de la nature humaine...
S’engager pour être en cohérence avec soi-même, pour respecter une promesse vis-à-vis d’autrui, pour servir une cause et des idéaux ? Les personnages de ces trois autrices sont une belle représentation de la façon dont on peut décliner le verbe s’engager
Quel rapport les écrivains entretiennent-ils avec leur ville, celle de leur roman ? Débat animé par Kerenn Elkaïm
Peut-on concilier science et littérature ? Deux auteurs se rencontrent à la Galerie Eurêka pour échanger sur les liens entre science et littérature.
Notre société occidentale fuit tant qu’elle peut le mot mort. Nous rusons et utilisons euphémismes, antiphrases ou litotes.Si nous posions un regard différent sur ce qui nous effraie ?
Nous sommes tous nés quelque part mais pour certains les circonstances de l’Histoire font surgir des passés dont on est tenté de faire abstraction. Les personnages de ces trois romans remontent le fil de leur existence et trouvent ainsi leur identité.
Dans la grande histoire, il y a des événements qui peuvent passer dans le tiroir de l’oubli ou être tus. Ces romanciers alertent le lecteur sur des épisodes tragiques en donnant chair à des personnages pour qu’à tout jamais les victimes restent vivantes.
C’est avec beaucoup de douceur et de délicatesse que les deux romans parlent d’amours adolescentes ou adultes. L’écriture, sobre et travaillée, sert parfaitement le récit. Elle peint la solitude des personnages en créant une ambiance rare et précieuse.